Le ballon rouge, compagnon de mon éveil littéraire parisien
jeanmichelcohensolal.substack.com
L'on ne devient pas un lecteur passionné en une semaine, un mois ou même une année. L'amour véritable pour la littérature exige des attentes, parfois des obstacles, souvent des conflits d’interprétations, notamment avec des textes résistants, mais aussi de la fatigue, des moments de désillusion et des expériences littéraires difficiles. Au final, il faut une longue immersion dans les livres pour que cela devienne un véritable amour qui commence quand l'enthousiasme initial pour chaque nouvelle page s'estompe, que les dialogues deviennent plus silencieux et que le désir de plonger dans les profondeurs des histoires augmente. On ne peut pas dire qu'on aime la littérature en restant à la surface des mots ; il faut plonger dans les chapitres complexes, être secoué par les rebondissements inattendus, goûter à la douleur des personnages, se heurter à des passages obscurs, voir la noirceur des thèmes cachés, être intrigué par ces zones de résistance…Et quand on referme le livre, on le voit différemment, car on a touché à ses imperfections, vu ses ténèbres et connu ses tourments.
Le ballon rouge, compagnon de mon éveil littéraire parisien
Le ballon rouge, compagnon de mon éveil…
Le ballon rouge, compagnon de mon éveil littéraire parisien
L'on ne devient pas un lecteur passionné en une semaine, un mois ou même une année. L'amour véritable pour la littérature exige des attentes, parfois des obstacles, souvent des conflits d’interprétations, notamment avec des textes résistants, mais aussi de la fatigue, des moments de désillusion et des expériences littéraires difficiles. Au final, il faut une longue immersion dans les livres pour que cela devienne un véritable amour qui commence quand l'enthousiasme initial pour chaque nouvelle page s'estompe, que les dialogues deviennent plus silencieux et que le désir de plonger dans les profondeurs des histoires augmente. On ne peut pas dire qu'on aime la littérature en restant à la surface des mots ; il faut plonger dans les chapitres complexes, être secoué par les rebondissements inattendus, goûter à la douleur des personnages, se heurter à des passages obscurs, voir la noirceur des thèmes cachés, être intrigué par ces zones de résistance…Et quand on referme le livre, on le voit différemment, car on a touché à ses imperfections, vu ses ténèbres et connu ses tourments.